Bon, les zamis, l'heure est grave. Hier, 29 septembre 2012, j'ai mis pour la première fois ma doudoune d'hiver. Oui, d'hiver.
J'ai pris l'habitude tous les matins au moment de m'habiller, de vérifier sur mon balcon si ma tenue est adaptée à la température extérieure. Hier, après 3 essais successifs et 3 frissons de froid, j'ai dû me rendre à l'évidence : mes pulls et vestes n'allaient pas suffire ; il me fallait autre chose...
Je suis donc sortie douillettement enveloppée de ma doudoune italienne, d'une écharpe et de mes bottes.
Quand une pluie fine mais insistante a commencé à tomber sur Montréal un peu plus tard dans l'après-midi, je me suis chaleureusement félicitée d'avoir opté pour cette tenue parfaite, dotée d'une capuche.
J'espère simplement que les températures ne vont pas baisser davantage ces prochaines semaines, parce que je viens de jouer ma dernière carte : hormis ma veste de ski, je n'ai rien de plus chaud que ma doudoune. La quête de mon manteau anti-froid canadien risque donc peut-être de commencer plus tôt que prévue...
J'ai pris l'habitude tous les matins au moment de m'habiller, de vérifier sur mon balcon si ma tenue est adaptée à la température extérieure. Hier, après 3 essais successifs et 3 frissons de froid, j'ai dû me rendre à l'évidence : mes pulls et vestes n'allaient pas suffire ; il me fallait autre chose...
Je suis donc sortie douillettement enveloppée de ma doudoune italienne, d'une écharpe et de mes bottes.
Quand une pluie fine mais insistante a commencé à tomber sur Montréal un peu plus tard dans l'après-midi, je me suis chaleureusement félicitée d'avoir opté pour cette tenue parfaite, dotée d'une capuche.
J'espère simplement que les températures ne vont pas baisser davantage ces prochaines semaines, parce que je viens de jouer ma dernière carte : hormis ma veste de ski, je n'ai rien de plus chaud que ma doudoune. La quête de mon manteau anti-froid canadien risque donc peut-être de commencer plus tôt que prévue...